THE X-MASS BROSS...The fabulous story of a great band

Ou comment le délire de 5 potes finnit par engendrer des blogues stupides, voir stupides... Bienvenue dans notre univers... euh... Lache tes coms...

Friday, February 16, 2007

vidéo live 10/02/07

Monday, January 29, 2007

Concert le 10/02/2007


Quelques pics... Quel de feu de dieu...









Ils étaient là pour l'annif du grand DEL avec Nameless et ADN 7.6...












Mais aussi de super photos en cliquant ici

Tuesday, August 22, 2006

S t Hadelin Annulé


Ce sera pour une prochaine occazion... Les X-Mass ont faillis... Gargllll !!!

http://users.skynet.be/festivalsthadelin/

Friday, July 07, 2006

Photo Live 27th May































Monday, July 03, 2006

The Band

C'est officiel la nouvelle vient de tomber sur tous les écrans, les frères noel débarquent pour enflammer votre salon, et pas nécessairement par la cheminée... Leurs annulation au festival de Werchter confirme l'engagement plus politique que le groupe souhaite désormais rencontrer, pouvoir approcher une dimension plus proche des réalites des gens, loin des sponsors et de la machine à fric puante de Clearchannel.

Mais qui sont ils donc, rencontre avec les ténors de la reprise à deux sous...

On pourait aussi intituler le quintet "clin d'oeuil"... Ici rien n'est pris trop au sérieux, rien si ce n'est l'amitié, et le gage de produire des trucs pas tros mou de la quette, ou carrément inaudible... Les répets sont avant tout un moment de détente ou chacun s'essaye à demontrer ses tallent gastronomiques...
Pour la plupart, tous sont issus de divers formations musicales (sauf l'imbécile de Willow qui n'a jamais rien su faire d'autre que de mettre des disques), posthumes ou toujours bien en place, certains se sont un peu trop pris la tête avec des compos gnagnagna ou des trucs gnignigni...
Le nom du groupe tient à la simple annecdote que leur première apparition scénique devant plus de 10000 personnes, dans l'immense St Andrews (temple musical verviétois), se donnaient la nuit de...

One by One

Jeff, soit le grand Jeff ou Jeff legrand comme on veut quoi... Né à Londres on ne sait plus trop quand, il subit de plein fouet la déferlante punk. Sa maman, lasse de le voir cogner sur les autre enfants du quartier avec des bois, a une idée de génie en lui offrant sa première batterie, une "Sprucht" (batterie allemande)... Tout s'enchaine très vite, Il joue entre autre avec les Clash, les New York dolls et MC5, mais jamais assez longtemps pour qu'on puisse trouver une preuve tangible qui puisse lui donner du crédit.
A chaque fois le même scénario, Jeff les envoie péter, comme s'il avait une espèce de flair perspicace, qui marcherait à l'envers. A cette époque, nous sommes en 1977, Jeff donne un concert époustouflant, seul , dans sa chambre... Un grafiti:"Jeff is god" témoigne à lui seul de la ferveur et de l'intensité de ce moment unique, que seul un grand soliste pouvait comprendre.

Déçu de toutes les manigances qui tournent autour de la scène punk, Jeff s'inscrit à l'accadémie royale militaire de Pitsburgh, ou il deviendra instructeur de close combat, il y restera 5 belles et longues années.
Après avoir été accusé d'avoir volé des pommes de terre à la cuisine, Jeff finira par quitter l'armée et ses joyeux troublions, l'anecdote raconte qu'il aurait épinglé toutes ses médailles (et elle sont nombreuses) sur les couilles d'un cuisinier chinois. Il quitte le royaume, plein de haine et de rage, pour le nouvel El Dorado verviétois. Quoique les locaux pouvaient alors dire, une légende venait de naitre, quelque part en pays de Vesdre... (infos agence Belga)


Vince ou EcniV de son nom véritable nom slave... Pas beaucoups d'informations sur ce bassiste virtuose, masochiste, maosiste et qui dispose d'une main droite greffée selon les toutes dernières technologies . Les raisons qui l'on conduit à la musique demeurent sombres et probablement compliquées, comme son existence. Né à Noorköping, en Suède, il parle tous les dialectes nordiques avec une aisence déconcertante, mais s'exprimme peu sur les conditions minimales dans lesquelles sont plongées les peuples du grand nord.

C'est au cours de ses études d'art abstrait, qu'involontairement avec un chalumeau, il tue son camarade et ami de toujours, Svën Atkiïsen. Marqué par cette nouvelle épreuce de la vie, il se retire au delà du cercle polaire artique et entame une médiation en compagnie d'un chamane inuite.

De cette période glaciaire il écrira quelques chansons, qu'il ne sortira et ne chantera jamais, tant sa douleure est grande... Les partitions sont probablement quelques part là bas, dans le grand froid. C'est un nouvel homme que voici, qui s'est épris des choses simple de la vie, comme partager un bon bol de Glork, le jeudi soir entre ami...


Franz, la voix du groupe... Fils d'un douanier autrichien et d'une top modèle suisse allemande. Comprenant très vite ce qui allait se passer outre Rhin, son père choisit de fuire le régime allemand et se réfugie dans les ardennes belges...
Né à Marchin en Belgique, le petit Franz éprouvera les moqueries de ses petits camarades de classe. Alors qu'il n'a jamais vécu en Autriche, le petit Franz, hérite pourtant d'un solide accent.
Blessé dans son orgeuil à tout jamais, Franz rejoint très vite le clan des révoltés et crée successsivement une série de groupes obscures dont les missions réside dans un trouble systématique de l'ordre public. Ses heures de gloires sont encore dans toutes les mémoires, se rappelant avec ferveur ce 25 septembre 1969, lorsqu'il chante à tue tête devant madame Thurion, professeur de français du collège Victor Hugo: "Qui a pété, ça sent la chicorée..."

Fasciné par la puissance et le charisme de sa voix, le jeune prodige, abandonnera finnallement la politique, pour rejoindre la chorale Sainte Cecile d'Auvelais et se consacrer avec ferveur au travail de sa voix.

Rastafrans...
La brute du combo, surnommé aussi the killer, tant ses fait d'armes sont archi-connus de tous. A l'âge de 8 ans, le jeune Archibald (c'est son vrai nom) découvre par hazard qu'il est capable d'ôter la vie à des insectes lorsqu'il les écrase du pied... Au fil des années, il réinvente les processus... A bientôt 10 ans, il n'est pas peu fière de faire bruler l'entiereté d'une fourmilière avec une loupe, volée au cour de sciences, en moins de 15'..
C'est le début de la gloire, mais des problèmes aussi. En pas moins de deux ans, Archibald se hisse au sommet du crime organisé: prostitution, trafic en tout genre, et recel anime son quotidien. Ses larcins, reconnus de tous, lui donne la réputation de petite frappe des banlieues. Malheureusement ou plutôt heureusement, la justice le ratrappe et l'aiguille sur une autre voie. A l'atelier protégé où il purge sa peine, la révélation viendra d'elle même. Un ancien pensionnaire, mort noyé dans son urine la semaine précédent son arrivée, laisse sans héritage un carnet de poésie et un saxophone, comme si il était l'élu Archibald voit l'avenir d'un meilleur oeuil.
A 20 ans, après une vite trépidente et sans répis... il signera sous son nouveau pseudo, Rastafrans, un receuil de poésie tout en prose intitulé: " Si mes proutes sentent..."Il les mettra en musique, si je puis m'exprimer ainsi, avec un vieux saxophone sentant l'urine, quelque part entre Herstal et Charleroi...

Willow... Fils d'immigré portugais, communiste, Rosario Ouilo (d'ou il tire la consonnence de son actuel pseudo) quitte relativement vite le cocon familial. En pétard avec les idées marxistes véhiculées par son entourage, Rosario, s'engage sur un chalutier oostendais, Het Wijmblachjes, bien décidé à croiser les mer chaudes... De mer chaude il ne connaitra que le froid rigoureux des hivers flamands. En pleine déprime face à ce constat désolant, il n'est pas rare à cette époque de le voir déambuler ivre, de troquet en troquet, provoquanrt en duel au sabre toutes les sommités du port. Il touchera le fond et tentera de se suicider en avalant une boite complète de smarties au chocolat. Echec cuisant à nouveau, lui faisant refléter son innulité absolue sur les terres de Pierre Brughel. A ce moment de son existence, il n'est plus que le reflet de lui même, homme sans âmes, sans passé, à qui tout semble rater... Au détour d'un bordel homosexuel, il trouve sur une table un receuil de poésie intitulé :" Si mes proutes sentent..."